Rencontre avec Chloé Maurer, la grande gagnante de la Coupe de France des Fleuristes de l’année 2017. Retour sur son expérience, sa vision, et son partage de métier.
1/ Présentation, son expérience
À quel âge avez-vous commencé la profession ? Quelles étaient vos motivations à vos débuts ?
J’ai débuté dans la profession à l’âge de 15 ans. J’aime la nature, et tout ce qui touche à la création.
Pourquoi êtes-vous devenu fleuriste ? vocation familiale ? aisance particulière ?
Depuis mon plus jeune âge, j’ai vu évoluer ma marraine dans le métier du végétal, passionnée, elle m’a transmis le goût des belles choses.
Quelles perceptions avez-vous de votre métier ?
Je perçois mon métier comme le plus beau au monde.
Pourquoi avez-vous décidé de participer aux concours ?
Un défi personnel. Cela permet de me surpasser, aller de l’avant. Les concours sont de formidables terrains d’apprentissages.
Comment avez-vous abordé le concours ?
L’ambiance était bon enfant, j’ai abordé le concours sereinement.
Quel retour pouvez-vous nous faire sur cette expérience ?
La Coupe de France des Fleuristes est le plus beau concours auquel j’ai participé jusqu’à présent, une expérience unique, et enrichissante, un travail récompensé par de grands professionnels de la fleur.
2/ Le métier, les valeurs, le futur
Quelle est la qualité indispensable pour votre spécialisation ?
La créativité bien sûre, fleuriste est un métier d’art.
Votre touche « à vous » dans l’exercice de votre profession ?
Ma touche personnelle, finesse et minutie, sont les mots qui qualifient mon travail.
Votre dernière découverte professionnelle ? (Innovation de la profession, nouveaux talents, nouvelles façons d’exercer …)
J’ai découvert le travail de nos voisins germaniques, j’apprécie leur perfectionnisme.
Quelle est la particularité de l’exercice de votre métier ?
On entre dans ce métier par passion.
Quel adjectif le caractérise le mieux ?
Moderne, est-ce qui caractérise le mieux mon travail.
Quelles sont à votre avis les perspectives futures du métier?
S’adapter en permanence aux diverses modes, et créer la surprise.
Quel avenir voyez-vous à l’exercice de votre métier ?
Un seul mot d’ordre, transmettre cette passion aux plus jeunes qui débutent dans la profession, les voir motivés, et réussir.
Les évolutions « positives » ?
Les évolutions dans le métier ne peuvent qu’être positives. « Que vive l’artisanat ».
